
POURQUOI VOYAGER SEUL ? de Jean Laval

Le partage est la clé de la solidarité : beaucoup de positif, de spiritualité, de bien être, de paix et d'amour pour illuminer vos journées !
“Nous vous suggérons de porter votre attention sur quelque chose qui vous plaît. Il est tellement plus facile pour vous de vivre dans l’espace de votre cœur lorsque vous vous concentrez sur quelque chose auquel vous n’avez aucune résistance. Lorsque vous êtes dans un état d’absence ou de faible résistance, vous ne ressentez pas le besoin de penser. Il n’y a pas la nécessité que vous trouvez habituellement pour résoudre les problèmes.
Il est facile de rester dans l’espace de votre cœur lorsque vous vous accordez la liberté de vous libérer de vos questions, de vos problèmes, des défis que vous rencontrez. Nous ne disons pas qu’ils disparaîtront tout simplement, mais ils seront là quand vous aurez besoin qu’ils soient là. Quand il vous servira de vous concentrer sur eux, alors ils seront juste devant vous. Mais vous n’avez pas à choisir d’être dans l’état de résoudre des problèmes 24 heures sur 24.
C’est toujours à votre avantage de choisir la fréquence dans laquelle vous aimeriez exister, et il est tellement plus facile de le faire lorsque vous êtes conscient de ce que vous mettez dans votre conscience immédiate. Sur quoi choisissez-vous de vous concentrer, au quotidien, moment par moment ?
Vous voudrez peut-être éliminer tous vos problèmes afin de pouvoir aller quelque part et vous détendre en sachant que vous n’avez aucun problème. Mais au moment où vous n’êtes pas concentré sur le problème, vous êtes sans problème. Problème résolu. Et quand vous vous accordez du temps à la fréquence que vous désirez, alors tous ces problèmes, défis et questions dans votre vie vous semblent tellement plus amusants.”
Traduit par Diane L. pour https://messagescelestes.ca
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Nous vous saluons, chers enfants de la Terre. En ce jour, nous allons vous parler de « l’instant présent ». Vous en avez entendu parler bien souvent mais que signifie réellement « vivre l’instant présent » ? Vivre « l’instant présent » est tout simplement vivre en conscience, en totale conscience, ce que vous faites, pensez, regardez, aimez et chérissez au moment même ou vous le faites.
Comment cela ? Comment être sans cesse dans l’esprit de conscience, de réelle conscience de ce que vous faites ? Tout simplement, il suffit, pour certains d’entre vous cela sera quelque peu délicat, d’être dans l’Attention Amoureuse de ce que vous vivez.
Comment être dans l’Attention Amoureuse ? C’est simplement remercier Dieu, l’Univers, vous l’appelez comme vous le souhaitez, de ce que vous êtes en train de vivre à cet instant même. Reconnaissez, comprenez que ce moment est béni : vous regardez avec admiration un paysage, vous regardez avec tendresse un enfant jouer, vous regardez avec amusement un animal faisant des cabrioles etc…etc… Mais, sachez vivre aussi « l’instant présent » dans votre créativité c’est à dire sachez créer par la sculpture, la peinture ou tout autre moyen de création. À ce moment là ne pensez plus à rien, soyez dans votre créativité, vivez la avec votre coeur, faites en un moment de bonheur et de joie.
Nous vous parlons de Bonheur et de Joie car « vivre l’instant présent » c’est cela, uniquement cela. Vous n’imaginez pas la Joie, la Paix, la Sérénité que vous pouvez vivre à ce moment là. Pour cela, il est important de lâcher prise par rapport à tout ce que vous avez prévu dans votre vie pour le lendemain, les mois suivants et les années suivantes. Vous remarquerez que, bien souvent, les projets que vous aviez échafaudés pour « plus tard » ne se réalisent pas totalement comme vous l’auriez souhaité d’où déception, contrariété, colère et tout autre sentiment négatif.
« Vivre l’instant présent » demande une abnégation de toutes ces pensées à long terme. Cela demande de vivre la douceur de ce moment si bon, si doux. Bien sûr, au début de votre apprentissage de « l’instant présent », cela ne pourra durer que quelques minutes mais vous vous rendrez compte, au fur et à mesure que vos projets à long terme ne se seront pas réalisés comme vous l’auriez souhaité, que vous allez lâcher prise en vous disant : « Stop, je ne mets plus de contraintes dans ma vie, je laisse la Vie me guider pour le meilleur pour moi. » À ce moment là, vous allez entrer dans le cycle de l’Amour de « l’instant présent ». Vous allez vous rendre compte de la Paix que cela procure à votre être dans son ensemble, vous allez pouvoir comprendre combien la vie est douce et heureuse.
« Vivre l’instant présent » permet à tout humain d’où qu’il soit, d’apprécier la Vie telle qu’elle devrait être vécue sans la pression des pouvoirs artificiels humains qu’ils soient politiques, financiers, sociaux.
« Vivre l’instant présent » permet à tout humain de lâcher prise par rapport à toutes les contraintes que la vie sociale ou familiale vous fait vivre. Bien sûr, cela demande une concentration de chaque instant, cela demande un désir profond de libérer votre vie de toute souffrance, car, n’en doutez pas, « vivre l’instant présent » vous libère des pensées à long terme qui vous préoccupent, apporte un bien-être et même, parfois, une guérison des douleurs physiques.
Vous allez nous dire : »comment faire pour être dans l’instant présent continuellement alors qu’autour de nous il y a du « remue-ménage »,des guerres ou d’autres événements ? »
Nous allons vous dire que vous ne pouvez totalement éluder ce qui se passe dans la vie autour de vous. Nous vous demandons, dans votre vie personnelle, de commencer à vivre cet « instant présent » en évitant de vivre le futur avant le présent.
Un grand nombre d’entre vous pense souvent et, parfois continuellement, à un futur emploi, celui-là et pas un autre ; vous êtes nombreux à avoir des projets qui vous semblent faisables mais qui vont vous créer des problèmes par la suite comme prévoir la construction d’une maison plus grande que celle dont vous auriez réellement besoin, d’y ajouter des piscines au autres choses dont vous ne vous servirez pas souvent mais qui vont grever votre budget par la suite etc… Tout cela entraîne des pensées sur un long, parfois très long terme et vous ne vivez plus votre vie du moment. Seul, dans ce cas là, le futur est existant.
Or, chers enfants de la Terre, que vous est-il demandé de vivre dans votre expérience terrestre ? Il vous est demandé de vivre l’Amour, la Paix, la Douceur et la Joie du coeur. Vous ne trouverez ce moment qu’en vivant « l’instant présent », l’instant de la révélation de la Beauté, de la Douceur, de l’Amour ne serait-ce que quelques minutes qui, avec l’habitude, se répéteront et vous apporteront le bien-être que vous recherchez régulièrement dans le futur au travers de biens matériels qui, eux, n’apportent qu’un bonheur éphémère.
Nous sommes là pour vous aider à comprendre le sens de votre vie qui commence par l’acceptation de ce que vous vivez à chaque instant. Nous vous aimons.
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Je m’excuse pour mon incapacité à faire la différence entre un guerrier bienveillant et un guerrier sans cœur, ce n’était que le reflet de ma propre confusion sur les champs de bataille d’antan. Lorsque j’ouvrais mon cœur un peu trop, je devenais vulnérable et pouvais être attaqué par les factions armées. J’étais conditionné à croire que je devais être rigide, rester concentré, être prêt à toute éventualité, par désir de me protéger moi-même et les autres contre toute attaque. Mais je suis allé trop loin, je me suis trop fermé et, j’ai brisé le pont entre nos cœurs. Je le vois bien maintenant et j’en suis désolé.
Je m’excuse pour mon absence perpétuelle, le reflet de mon absence intérieure, mon incapacité de me connecter à partir d’un cœur encombré par mes émotions, que je ne pouvais pas résoudre par manque d’outils. Il me manque toujours un bon nombre de ces outils, mais je suis ouvert à leur émergence.
Je m’excuse pour mon incapacité à faire la différence entre une relation et la guerre. Comme un guerrier en territoire ennemi, j’entre et je sors furtivement de ta vie la nuit, pillant et volant égoïstement ce dont j’avais besoin, puis rampant sur le dos vers l’autre côté de l’abîme, emportant les butins. Je donnais peu par peur de devenir vulnérable à toute attaque. La guerre occupait mon cerveau et je ne pouvais voir la rivière d’amour qui m’attendait de l’autre côté du champ de bataille. Je reconnais maintenant que l’amour est l’antidote pour le guerrier dans son armure, mais je ne pouvais pas boire l’antidote à cause de l’état de fonctionnement dans lequel je me trouvais.
Je m’excuse de ne pas t’avoir vu, mes yeux étaient rendus aveugles par la rage et les larmes retenues qui les congestionnaient. Si cela peut être une consolation et, je pense bien que cela n’en n’est pas une, je ne pouvais pas non plus me voir moi-même. Je voyais seulement ce qui pouvait servir mon hyper-vigilance et ce sur quoi le guerrier était concentré. Mon miroir était un champ de bataille.
Je m’excuse pour mon matérialisme non fondé, ma tyrannie dirigée par le pouvoir, mon obsession à accumuler. D’une certaine façon j’imaginais que l’accumulation pouvait me protéger ainsi que mes proches, mais j’omettais de reconnaître qu’elle ne faisait que perpétuer la folie. Je m’excuse également pour mes abus égotistes, le reflet d’un ego malavisé, gonflé à bloc pour faire face à un monde fondamentalement compétitif. Je ne pouvais pas distinguer l’ego sain, confiant, de l’ego suffisant et malsain. Je suis allé beaucoup trop loin dans la mauvaise direction.
Je m’excuse pour une sexualité qui était déconnectée du cœur. Je sais que tu avais très envie d’une réelle intimité, une fusion de nos âmes tout le long de l’avenue qui conduit du cœur aux organes génitaux. Mais des murs de défense entouraient mon cœur et aucun pont ne pouvait se former entre nos âmes. Il y a eu des moments où ta façon d’aimer m’a libéré de mes masques corporels, mais alors je n’avais pas de programme pour rester au cœur de ce feu ardent. J’en suis désolé, car je sais que le chemin que tu désirais ardemment est celui qui mène au Divin.
Je m’excuse pour mes actes de violence horribles, le reflet de ma rage froide, mon incapacité à faire la différence entre les ennemis réels et les amis. Il n’existe aucun mot pour défaire ce que j’ai pu faire dans ces moments de folie. Je le sais, je le reconnais vraiment. Je pourrais me couvrir le visage de honte, mais cela n’arrangerait pas les choses. Je dois reconnaître mes mauvaises actions et puis trouver une façon de laisser éclore ma capacité à avancer avec plus d’amour. J’appelle les autres guerriers masculins à rendre compte des actes de notre genre humain, non pas dans la haine, la haine de soi, mais de façon courageuse, honnête vis-à-vis de soi et avec une réelle compassion. Le guerrier sincère reconnaît ses erreurs et a le courage de tout faire pour réparer ses torts avec le temps.
Je m’excuse pour mon incapacité à vivre une relation consciente. Tu étais là, le cœur ouvert, mais j’étais trop attaché à mon individualisme et j’avais peur de ce terrain inconnu. Je connais bien les forêts, la place du marché, et les chemins vers le monde extérieur, mais ma géographie intérieure m’était complètement étrangère. Tu m’as attiré sur un terrain pour lequel j’avais été mal préparé, bien que je sentais, sous la surface de ma bravade, que tu m’appelais à la maison.
Je suis reconnaissant du fait que tu étais disposée à croire que celui qui était là dans ces rares moments de vulnérabilité, était bien Moi. Tu avais raison – c’était bien Moi dans l’enceinte de mon cœur – mais seulement de temps à autre je pouvais faire face à ce Moi réel. Je te voyais dangereuse, car en ta présence je commençais à goûter à une façon de s’abandonner à être. Néanmoins, ta foi en ma bonté m’a permis de gagner plus d’une bataille et m’a redonné la foi en la vie lorsque j’en avais le plus besoin. Tu étais la lumière au bout du tunnel barbare et je suis béni.
Je suis reconnaissant que tu sois restée avec moi contre vents et marées et je comprends aussi ces moments où tu as dû abandonner et laisser aller. Je reconnais maintenant qu’il y a une différence essentielle entre un lien d’amour intime et une relation. L’amour seul n’est pas suffisant. Sans une volonté partagée de devenir conscient, il ne peut en résulter que de la frustration. J’étais si souvent impossible, m’accrochant à mon inconscience comme un soldat s’accroche à ses armes. Je reconnais ton courage pour garder ton cœur ouvert devant autant de résistance de ma part. Tu avais vraiment le droit de rechercher une relation authentique, car ton esprit était enflammé en sa présence. Ton cœur admirable avait tous les droits d’être rejoint dans son ouverture et son enthousiasme. Je suis reconnaissant pour le temps que tu m’as donné, moments de répit à l’abri dans les cachettes que je nommais, à tort, la maison.
Je suis reconnaissant à ma Grand-mère, qui plus que quiconque voyait clairement ma tendresse. Je suis reconnaissant à ma Mère, de m’avoir donné la vie, d’avoir nourri mon corps jusqu’à ce qu’il tienne bien sur ses jambes. Je suis reconnaissant à la Terre Mère de m’accueillir dans la bienveillance, pour ancrer mon expansion et animer mon esprit. Je suis reconnaissant à la Mère Divine, la vraie Mère de nous tous. Maintenant je peux sentir sa présence, si proche. Avec une compassion extrême, elle était toujours là, insufflant la vie en moi, me protégeant. Je suis assis sur ses genoux pendant qu’elle respire en moi.
Je me réjouis du jour où lorsque la seule chose qui pourra enflammer une relation, est l’appel de deux âmes, l’une vers l’autre, deux âmes-cœurs battant dans la même direction, un désir murmuré de relier l’essence de l’une à celle de l’autre. J’ai envie de te vouloir non pour gratifier mon égo, non parce que tu es belle à l’extérieur, mais parce que ta présence invite ma propre divinité à sortir de sa cachette.
Je veux te toucher avec le cœur sur la main, connaître l’alchimie entre nous qui n’est pas identifiable au genre masculin/féminin, mais qui trouve sa source dans l’essence, une coulée de lave d’amour déferlant du cœur vers les organes génitaux, pour aller encore bien au-delà, vers le plus vaste. Dans ce monde construit d’amour, la relation sera toujours vécue comme une pratique spirituelle, l’expression de notre dévotion au Moi Divin.
J’ai toujours cru qu’être sensible était impossible pour survivre dans ce monde dur. En cet instant, je suis sensible, sans être fragile. Je porte toujours une armure, mais il y a un changement de direction dans l’intensité de ma transformation. Je peux m’attarder dans l’espace-cœur plus longuement que je ne le pouvais auparavant, je deviens plus tendre à certains endroits. Après autant de vies vécues l’arme à la main, le guerrier au cœur tendre est en train de naître en moi. Il est confus, mais il sait intuitivement que c’est le chemin de retour à la maison.
S’il te plaît ne nous abandonne pas moi et mes compagnons guerriers. Pardonne-nous pour nos mauvaises actions, ou, au moins, reste ouverte à la possibilité que nous changerons au fur et à mesure que la voie s’agrandira pour rejoindre notre intention de se transformer. Le jour viendra où nos esprits guerriers vont perdre leurs bords durs, et s’aligneront avec des actions bienveillantes. Certains d’entre nous en sont déjà là, beaucoup d’autres vont suivre encore. La voie de la transformation dépend du pont entre les genres féminin/masculin, un pont bienveillant qui célèbre nos différences avec respect et bonté. Ce travail doit commencer par guérir les fissures dans le continuum des genres, mettre nos efforts dans le cœur collectif jusqu’à ce qu’un jour nous puissions nous tenir sur le pont éternel, main dans la main, les cœurs ouverts et embrasés, embrassant le masculin sacré et le divin féminin qui vivent dans le cœur de nous tous. Je te rencontrerai à cet endroit.
Puissiez-vous ressentir l’amour de la Mère Divine s’écrasant sur vos rivages sincères, vous soulevant avec grâce au-dessus de la folie du monde, vous blottissant dans les bras reconnaissants des personnes que vous avez nourri. Ceux d’entre nous qui ont reçu tes bénédictions, peuvent ne pas le reconnaître, mais tes actes d’amour sont parvenus jusqu’à nous, nous rendant plus fort et nous insufflant la lumière de l’amour. Merci.
Jeff Brown